Janvier 2024
Huguette Bailly était excusée et Michelle Sbriglio, nouvelle venue a écouté !
Marie Seidel a présenté « Cézanne : Des toits rouges sur la mer bleue » de Marie-Hélène Lafon, qui nous décrit les affres de la création et les secrets de famille à la fois du peintre et de l'écrivaine.
Anne Roche a lu « La sentence » de Louise Erdrich qui décrit la condition amérindienne, faite de discrimination et de racisme : jeunes enfants arrachés à leur famille par des prêtres et des religieuses pour les couper de leur culture et de leurs racines.
Geneviève de Broche a apprécié « L'aigle et le léopard » d'Eric Branca. Il nous rappelle les sympathiques nazis de la famille royale d'Angleterre, antisémite et adoratrice d'Adolf Hitler.
Eric Broquère a aimé « Passé simple » de Driss Chraïbi qui raconte la jeunesse des fils d'un seigneur de l'Islam et qui décrit la cruelle condition des femmes et la dureté des écoles coraniques.
Sylvie Merignon a relu « Rabiolo » de Maurice Genevoix, une superbe description des paysages de Sologne et de la condition misérable des braconniers de l'époque.
Marianne Berissi a aimé « Proust, roman familial » de Laure Murat qui, à travers les personnages fictifs de Proust décrit sa propre famille et la passion des apparences, l'obsession de la forme qui, au final, n'est qu'une forme vide.
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